La Commission électorale indépendante (CEI), chargé  de l’organisation Générale des élections en  Côte d’Ivoire, organise l’opération de révision de la liste électorale, dans tous les centres de recensement correspondant aux habituels lieux de votes durant une semaine du 18-24 juin 2018 sur l’ensemble du territoire national. S’il y a de l’engouement à cette opération, la date indiqué risque d’être repoussé pour permet le massivement de personnes de se fait enrôlé . Environ près de  7 millions de personnes qui sont concernés par cette opération qui concerne aussi les nouveaux majeurs en droit de vote qui sont environ près de 5 millions de personnes, selon une source bien indiqué.

 

S’inscrire sur la liste est d’abord un acte civique. Aussi, il faut être sur  la liste  électorale afin de pouvoir participer, le moment venu , au choix des personnes et des équipes qui auront à décider et gérer l’avenir de la nation qu’au niveau local et national. En fait, la présence du citoyen sur la liste électorale est la première condition pour être candidat à une élection  (présidentielle, législative, sénatoriale, régionale et municipale)…

 

Pour la réussite de cette opération, La Commission électorale indépendante (CEI) met tout en œuvre pour permet un grand nombre de la population de se fait inscrire sur la liste électorale. Quant à une frange de l’opposition, proche du front populaire ivoirien, dirigé par le professeur Aboudramane Sangaré appel à nouveau au boycott active de cette opération, après le renversement de l’ex président Laurent GBAGBO, mais aussi exige le départ de l’actuel président de la commission indépendante (CEI) déclaré forclos  et sa réforme par la commission Africaine des droits de l’homme et des peuples, suite à la plainte de l’Action protection des droits de l’homme (APDH).

Cette frange de l’opposition, réuni au sein de l’EDS, proche de Aboudramane Sangaré pourront-ils réédité l’exploit après plusieurs mots d’ordres  lancé, depuis le 11 avril 2011 ? L’opération est gratuite et concerne les nationaux  et va coûter près de 5 milliards à l’état de Côte d’Ivoire.

 

Affaire à suivre!