Jules Kouadio Delafosse (DG Sté J.Delaf)

 

« QUE LE GOUVERNEMENT AIDE LES JOURNALISTES A ACQUÉRIR UN TOIT »

Le secteur de l’immobilier a le vent en pourpre en Côte d’Ivoire,  si bien que pour trouver son chemin et s’en sortir gagnant, la société J.Delaf a choisi de consentir des sacrifices, pour les personnes qui en sont dans le besoin. Mais elle veut surtout s’offrir l’adhésion des journalistes au projet « Un journaliste un terrain, un journaliste un toit », avec surtout de meilleures offres dans la ville futuriste de Yamoussoukro, capitale politique ivoirienne.  Jean Delafosse KOUADIO Dg de ladite entreprise donne les détails.

« Les journalistes sont des acteurs du développement. Nous estimons qu’ils méritent d’être aidés, d’être accompagnés. Nous avons donc décidé de leur proposer des offres plus alléchantes, pour leur permettre d’acquérir un terrain ou un toit, en leur donnant la possibilité de payer sur trois (3) ans. Aujourd’hui, les temps sont difficiles. Ce n’est donc pas facile d’acquérir un terrain ou un bien immobilier. Surtout difficile pour les personnes à revenu intermédiaire ou économiquement faible. C’est donc notre façon à nous de les aider à acquérir une maison ou tout au moins un terrain qu’ils pourront exploiter plus tard, et s’assurer aisément une retraite tranquille, heureuse. Beaucoup partent à la retraite sans aucune réalisation. Or souvent, c’est à cette étape de la vie que les besoins en immobiliers se font nécessaires et importants.

NOUS CONSTRUISONS SUR DES TRRAINS A PARTIR DE 500 M²

Nous accompagnons nos clients dans l’acquisition définitive (ACD) ;  Nous allons même plus loin avec eux, entrainant à nos côtés  une maison d’assurance partenaire qui va les couvrir entièrement. En cas de défaillance du client, nous mettons à contribution notre assureur qui va payer jusqu’à couvrir entièrement la totalité du coût du terrain ou de la maison de cette personne. Après l’enregistrement de l’adhésion du client, nous engageons la lettre d’attribution et la remise de la copie de l’ADC et le reçu du paiement.  A partir de cette étape, nous suivons le cours des dossiers jusqu’à leur signature par le ministère de la construction.

AIDER LES JOURNALISTES, C’EST NOTRE CHOIX

Ce n’est pas une décision prise au hasard, parce que nous voulons faire de la publicité. Il n’en est rien. Nous savons tous que nos frères et sœurs, nos amis de la presse n’ont pas de gros salaires. Pourtant, c’est eux la quatrième pouvoir. C’est eux qui font mais peuvent aussi défaire. Ils travaillent beaucoup pour la société, pour nous informer, aider à vendre notre image ou à l’améliorer. Ils ont cette mission éducative qui est essentielle, surtout dans les sociétés malades ou celles en pleine reconstruction qui n’offrent pas à tous ses membres un accès à l’instruction. Mais le faisant même par passion, les journalistes n’ont pas toujours les moyens de s’épanouir véritablement, de s’offrir ce qu’ils désirent. Alors nous avons fait le choix de leur permettre d’avoir un terrain, de se construire une maison. Compte tenu de la précarité situation économique, nous avons accepté de consentir des sacrifices pour aider les journalistes, les accompagner dans l’acquisition d’un terrain ou d’une maison mais vraiment à des prix très bas, avec un ACD. Ce qui revient généralement à près de 15 millions f Cfa leur est offert à 35%, soit une réduction de 65% du coût total. La marge bénéficiaire n’est pas assez consistante, mais c’est pour une bonne cause, et je crois que Dieu nous bénira.

BATIR A YAMOUSSOUKRO, C’EST L’IDEAL POUR GARANTIR UN CADRE MAGNIFIQUE ET TRANQUILLE

Nous proposons des terrains à Yamoussoukro, Daloa, Man, San Pedro, Sassandra, Grand-Béréby. Le choix du lieu dépend du client. Mais pour nos journalistes et pour d’autres, nous conseillons la ville de Yamoussoukro qui est la capitale politique ivoirienne. Non seulement çà , mais la ville natale du Président Félix Houphouët-Boigny se présente aujourd’hui comme le nouvel eldorado de l’immobilier, comme l’une des grandes métropoles africaines en construction. D’ici trois ans, on verra une grande ville capitale, plus calme, plus tranquille,  plus verte, plus  propre, offrant une meilleure urbanisation, les meilleures conditions de vie et de travail, de mobilité donc de déplacement par rapport à Abidjan qui est saturée.  C’est une cité futuriste qui s’étend sur plusieurs km et dont l’architecture a été dessinée depuis très longtemps par le « Vieux ». Ici, on ne doit pas construire n’importe comment,  c’est la volonté du Président Houphouët-Boigny qui y  a d’ailleurs laissé des consignes fermes. Il faut respecter cela. Avant sa mort, le « Vieux a prévu beaucoup d’avantages pour Yamoussoukro : c’est les larges ‘’rues boulevards ‘’ construits pour éviter ou prévenir d’éventuels embouteillages ; des terrains d’au moins 500 m²  et pas en dessous de ce chiffre, des infrastructures et offres touristiques importantes ; la Basilique Notre Dame de la Paix haut du tourisme religieux, l’autoroute internationale qui va bientôt traverser la ville. Bref. Le transfert de la Capitale étant maintenant réel, cela va ouvrir les regards de tout le monde sur Yamoussoukro. Alors, nous disons que c’est le moment de saisir l’opportunité pour faire partie des premières personnes ou des sociétés à invertir à Yamoussoukro, sinon, ce pourrait être difficile et il faudra payer plus cher après pour s’y installer.

UNE CITE DES JOURNALISTES, POURQUOI PAS

Voilà une bien meilleure idée, un bon projet que nous voulons soumettre à l’UNJCI, aux associations professionnelles des journalistes. Nous sommes prêts à bâtir une cité entière des journalistes à Yamoussoukro, où chacun viendra vivre avec sa famille, dans un beau cadre, verdoyant et spacieux et agréable, bâti sur une superficie de 500m². Une cité sécurisée, avec école, commerces, supermarché, infrastructures et aires de jeux, etc. A cet effet, nous voudrions demander à l’Etat, au gouvernement via le ministre de la communication, d’intervenir. Nous lui demandons un appui mais un appui fort  pour permettre aux journalistes d’avoir un toit ou une maison. Participer à la construction d’une cité des journalistes ne serait pas une mauvaise chose. Ce serait tout à son honneur, et on dira que c’est tel ministre ou tel gouvernement qui l’a fait. Je crois que si les autres ne l’ont pas fait, nous devons laisser des traces dans notre passage sur la terre. C’est mon appel aux autorités gouvernementales.»

Gloire Kelly