« Pour l’UNG, l’ordonnance d’amnistie est dans l’ordre normal des choses dans la mesure où elle permet à des hommes et des femmes injustement emprisonnés de retrouver leurs libertés et leur dignité après plusieurs années de détention arbitraire. C’est pourquoi nous saluons cette décision courageuse. Cette décision, nous l’espérons, ouvre une nouvelle ère pour la Côte d’Ivoire : celle de la fin des traitements injustes et cruels infligés à des femmes et des hommes en raison de leurs combats au service des intérêts et des droits du peuple ivoirien ».
Il faut maintenant une commission tripartite Gouvernement- opposition- société civile afin d’adopter une mouture consensuelle de la CEI.
– Il faut une commission gouvernement opposition afin de régler les derniers détails liés au retour des exilés.